Charles Kloppenburg : « ça, c’est pour cueillir des fruits… c’est un peigne à myrtilles. On prend le myrtillier en dessous , on lève, on lève… Alors, les myrtilles, elles tombent dedans avec des feuilles. On enlève les feuilles pour ne récupérer que les fruits. Les myrtilles viennent se coincer dans la seconde partie alors que les feuilles restent dans la première, comme ça, c’est facile pour les enlever. Ça existait aussi pour les pissenlits, mais plus grand. Grâce à ça, on pouvait ramasser les fleurs de pissenlit, pour faire des confitures, par exemple. A l’époque, on ne perdait rien. Les confitures de pissenlit, c’est extra ! ».
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