Charles Kloppenburg : « Normalement, il y a un manche. C’est une fourche à betteraves. La betterave étant forme conique, cet outil permettait de la prendre directement par la racine. Ça évitait de casser la betterave ».
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Charles Kloppenburg : « Normalement, il y a un manche. C’est une fourche à betteraves. La betterave étant forme conique, cet outil permettait de la prendre directement par la racine. Ça évitait de casser la betterave ».